LE 19 JUIN 2014

Un nouveau président pour la Société canadienne d'évaluation

Benoît Gauthier deviendra Président de la Société canadienne d'évaluation (SCÉ) le 1er juillet 2014.

Après avoir travaillé dans l'arrière-scène des opérations de la SCÉ depuis douze ans en tant que webmestre, trois ans comme membre du Jury d'accréditation et onze mois comme Vice-président de transition du Programme des titres professionnels, M. Gauthier acquis une compréhension en profondeur de la SCÉ en tant qu'organisation. Comme président de la SCÉ, son objectif principal sera de soutenir une présence, une compréhension et une utilisation accrues des pratiques d'évaluation dans les dialogues stratégique et opérationnel avec les organisations publiques, sans but lucratif et privées.

Pour atteindre cet objectif, Benoît propose de mettre l'accent sur trois piliers de la Société.

• Le premier pilier est la professionnalisation de la pratique de l'évaluation. La professionnalisation est au coeur du démarrage du Programme des titres professionnels en 2009-2010. Depuis lors, le titre d'Évaluateur accrédité (ÉA) a fleuri comme une manifestation clé de l'engagement des évaluateurs envers leur profession. Benoît veut faire du titre d'ÉA un point focal des activités de la SCÉ.
• Le deuxième pilier est d'attirer le plus grand nombre possible d'évaluateurs professionnels au sein de la Société, là où ils peuvent bénéficier d'un environnement professionnel favorable. La SCÉ doit augmenter la valeur qu'elle apporte à ses membres. Les voies pour atteindre ce résultat incluent le développement de nouveaux services, la réservation d'une partie des services existants aux membres uniquement et une offre plus systématique des services de la SCÉ en français.
• Le troisième et dernier pilier est une société forte, agile, engagée, structurée et qui s'exprime énergiquement. Selon Benoît, la SCÉ doit maintenir un niveau élevé d'efficacité organisationnelle. Elle a besoin de plans d'action qui sont alignés à ses objectifs stratégiques. Elle a besoin de systèmes d'information de taille appropriée et bien ajustés pour informer les décisions. Elle a besoin d'antennes sur le terrain pour identifier et saisir les opportunités qui se présentent. Elle doit continuer à accroître la participation des bénévoles au sein des comités de travail.

M. Gauthier croit qu'avec un travail acharné et la collaboration des évaluateurs canadiens, des progrès significatifs pourront être réalisés dans ces trois sphères au cours de son terme de deux ans.

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